Baldassarre Galuppi
Baldassarre Galuppi – Sacred music - Giulio Prandi direction
Roberta Invernizzi, Soprano
Romina Basso, Alto
Krystian Adam, Ténor
Sergio Foresti, Basse
Ghislieri Choir & Consort
(Deutsche Harmonia Mundi 2011)
Baldassarre Galuppi – Sacred music - Giulio Prandi direction
Roberta Invernizzi, Soprano
Romina Basso, Alto
Krystian Adam, Ténor
Sergio Foresti, Basse
Ghislieri Choir & Consort
(Deutsche Harmonia Mundi 2011)
Petit corbeau de Ute Von Münchow-Pohl (2013).
Un dessin animé à partir de 3 ans.
Petit corbeau, un garnement égoïste et inventif entraîne par ses bêtises un certain nombre de ses amis de la forêt dans des aventures humoristiques et pleines de rebondissements.
Ce dessin animé classique de Ute Von Münchow-Pohl est de très jolie facture.
Melancholia – film de Lars Von Trier (2011)
La fin du monde vue par Lars Von Trier : sans effet catastrophe, dans la solitude d'un bel été nordique.
Souvenez-vous, en 2011, l'apocalypse était dans l'air du temps.
Mais s'éloignant de la polémique qui entoura ce sujet et, plus ou moins, chaque oeuvre du cinéaste danois, voici que la grandeur du film apparaît plus clairement : une magnifique allégorie du face à face de chacun avec son destin. L'esthétique très marquée des images rappelle les mondes oniriques de Peter Greenaway ou d'Andrei Tarkovski.
Patrick Sébastien : « Comme un poisson dans l’herbe »
Quels critères retenons nous pour choisir une lecture ? Un auteur apprécié? Un thème recherché ? Un genre de littérature ?
Pour ma part, la lecture doit, avant tout, être synonyme de plaisir et source d’inattendu, je me laisse donc volontiers tenter par le hasard. C’est en effet sans aucune préméditation que je me suis arrêtée sur le dernier livre de Patrick Sébastien, « comme un poisson dans l’herbe ». L’individu n’ayant jamais particulièrement retenu mon attention, c’est la couverture revêtue de son visage qui m’a séduite. Ce regard emprunt d’humanité, je dois le reconnaître, m’a interpellée voire charmée !
Le 22 novembre dernier, Georges Lautner décambutait bêtement en laissant « les tontons flingueurs » à la traîne. Ils devront désormais vivre sans lui...Mais ce ne sont plus des gamins : 50 ans qu'ils sont sortis en salle pour la première fois (à Paris, le 27 novembre 1963).
Lautner, Audiard, Ventura, Blier, Blanche, Dalban, Lefebvre : tous canés... Tiens bon, Claude ! ou la maison du Mexicain va finir par ressembler à un cimetière...
Lautner et ses tontons flingueurs devenus cultissimes, c'est un peu la revanche du cinoche populaire à la papa sur le cinéma intello de la nouvelle vague. L'un n'excluant pas l'autre d'ailleurs, et tout le monde peut évidemment connaître et apprécier les deux (sauf peut-être les cons, mais les cons, ça ose tout...). N'empêche, c'est un drôle de destin que celui de ce film décalé, foutraque, pas frimeur, sans réel scénario ni décors. Le film d'une génération ?Même pas. Je suis objectif : le film, à sa sortie, tout le monde l'a donné à cent contre un flingué à la surprise. C'film là, ce qui l'a sauvé, c'est sa psychologie. Eh oui, sa psychologie !
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