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Coups de coeur

Coups de cœur 

grassGrass : A Nation’s Battle For Life

Réalisé par l’américain Merian C. Cooper et Ernest Schoedsack – 1925

Sans paroles,  légèrement colorisé

 

Pilote vétéran de la Première Guerre mondiale devenu par la suite journaliste, Merian Cooper poursuit dans les années 20 une vie d’aventurier.

blackboxNicolac Repac – The Black Box – No Format

 

A l’heure de l’électronique tout-puissant et la grande disponibilité des sources émerge un nouvel objet musical : la compilation réinventée, quelque chose comme un disque de reprises où seraient utilisées les voix originales des chanteurs.

Antonio Moresco 3La petite lumière / Antonio Moresco

(Ed. Verdier, 2014)

 

Les éditions Verdier, dans leur belle collection « terra d’altri », ont récemment proposé un court récit (116 pages) d’Antonio Moresco : « La petite lumière ». Ce livre est une première édition en français (traduit de l’italien par Laurent Lombard) d’un texte de cet écrivain. Né en 1947 (et non 1945, comme annoncé fautivement sur la quatrième de couverture) à Mantoue, l’homme est pourtant l’auteur d’une trentaine d’ouvrages (romans, textes pour le théâtre, récits ou critiques). C’est donc l’occasion, pour le lecteur qui ne lit pas l’italien, de pénétrer enfin dans l’univers de ce romancier réputé et respecté chez nos voisins transalpins.

 

unvergeraupakistanUn verger au Pakistan / Peter Hobbs.

Traduit de l’anglais par Julie Sibony –Ed. Christian Bourgois, 2013. -1 vol. (137 p.). – (Littérature étrangère)

 

Un merveilleux roman tout à la fois sombre et lumineux, il nous émeut au plus profond de nous. L’histoire qu’il nous raconte est celle de la cruauté des hommes contre laquelle les gens simples comme notre héros, un jeune adolescent, ne peuvent, hélas, pas grand-chose. Et pourtant la force de ce livre vient de sa lumière. Le verger, où le jeune homme malheureux aime se retrouver, est le véritable héros de ce court roman. Le verger c’est le temps de l’enfance, le temps du bonheur et de l’innocence. Le verger c’est le ventre de la mère et sa chaleur.

nemoubliepasNe m’oublie pas (vergiss mein nicht)

Un film documentaire de David Sieveking. (2012) 1h28

Dissidenz films. Primé à Locarno, Rotterdam, Berlin et Leipzig.

 

Pendant plusieurs mois David Sieveking filme ses parents, septuagénaires, dans le nord de l’Allemagne.

hommechienL’homme qui aimait les chiens / Leonardo Padura

  

« L’homme qui aimait les chiens » restera longtemps dans ma mémoire. Je l’ai refermé avec un pincement au cœur car il n’a pas été qu’un plaisir de lecture, mais aussi une secousse, une décharge, un moment privilégié à vivre avec ses 670 pages qui ont retenu toute mon attention.

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