Les « Musées de France » du Cantal ré-ouvrent progressivement
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- Catégorie : Actus patrimoine
Après plusieurs mois de fermeture au public, les « Musées de France » du Cantal ré-ouvrent et adaptent leurs conditions de visite.
Le Musée de la Haute-Auvergne propose à partir du 10 juillet 2020 une exposition dédiée aux déplacements en Haute-Auvergne depuis la période gauloise « 2 000 ans de passages, du chemin gaulois à l’A75 ».
Sobre et élégante, la chapelle romane de Saignes (classée Monument Historique en 1921) domine le village éponyme situé dans la vallée de la Sumène.
Un des trésors de cette chapelle est un tableau représentant la Vierge, inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1999.
Découvrez ou redécouvrez notre patrimoine et préparez vos futures visites dans le Cantal.
Au fil des jours, nous vous présentons des merveilles et des pépites de notre patrimoine à découvrir virtuellement sans modération.
Partons dans le nord Cantal où l’église de Trémouille recèle une curiosité appelée localement "Roue de saint Martin".
Cette roue à clochettes, inscrite à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques en 1975, est accrochée à environ 3,50 m de hauteur dans le chœur de l'église.
Le 18 juin 2020, Jean Labellie fêtera ses 100 ans. Il est né sur la commune du Rouget dans le Cantal.
Jean Labellie est un peintre paysagiste abstrait formé l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris et élève de François Desnoyer (1894-1972). C’est le professeur Henri Mondor (1885-1962), qui assuré du talent du jeune homme avait convaincu ses parents de l’envoyer à Paris pour tenter les Arts Décoratifs. Le professeur Mondor restera une figure marquante et présente tout au long de la vie de l’artiste.
En 1942, il rejoint le maquis dans le sud Cantal jusqu’en 1945.
Pendant le confinement, nous vous présentons des merveilles et des pépites du patrimoine cantalien !
A première vue, l’église d’Ydes-Centre perchée sur sa butte, n’a rien ni d’ancien ni de semblable à l’église romane et templière d'Ydes-bourg. Et pour cause, la construction de cet édifice est liée au développement de l’activité houillère dans le nord Cantal.
Au XIXe siècle, l'industrie du charbon fournit du travail à de nombreux mineurs qui s'installent entre autres à l'Hôpital-Ydes (aujourd'hui Ydes-Centre) et où la Compagnie des houillères de Champagnac fait construire la « chapelle des Mines » vers 1880.
Fermé à la visite, peu accessible et de faible emprise, le Suc de Lermu est l'un des sites majeurs de l’archéologie cantalienne. Aujourd'hui propriété de la commune de Charmensac, il a été occupé à au moins trois reprises en plus de 3 000 ans. Tour à tour, site défensif contrôlant les chemins de l’estive à la fin de l’âge du Bronze puis relais commercial intégré au commerce méditerranéen se développant entre Languedoc et Basse Auvergne à l’âge du Fer, il sera à nouveau fortifié au crépuscule de l’Empire romain et au début de l’ère mérovingienne comme de très nombreux sites sur les versants orientaux du Cézallier et du Sancy.
Pendant le confinement, nous vous présentons des merveilles et des pépites du patrimoine cantalien !
Choyés et mis en valeur dans les crèches au moment des célébrations de Noël ou délaissés au fond des placards des sacristies, les enfants Jésus en cire ne laissent pas indifférent. Après un rappel sur les catégories et leur fabrication, nous verons pourquoi la crèche de St-Martin Cantalès est singulière dans l'inventaire cantalien.
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La Vierge d’Auzers est une statue en pierre sculptée polychrome datée du XVe siècle et conservée dans le chœur de l’église St Pierre.
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